Atlas du Moyen-Orient : aux racines de la violence de Pierre Blanc Version imprimable

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Actuellement, beaucoup d’essais sont consacrés à l’histoire du Moyen-Orient. Le présent atlas illustre parfaitement l’adage qui dit qu’une image vaut mille mots. En effet, on trouve dans cet atlas des cartes détaillées qui représentent les changements de frontières qui sont survenus au Moyen-Orient depuis le début de la Première Guerre mondiale dans ce qui était alors l’Empire ottoman jusqu’à aujourd’hui. Il ne s’agit pas ici seulement de cartes traditionnelles signalant uniquement les frontières et les capitales. Au contraire, les cartes, d’un graphisme soigné et imaginatif, sont accompagnées de nombreux tableaux et graphiques très éclairants. Le tout est étayé par des commentaires étoffés relatifs notamment à l’histoire politique, aux mouvements de population, aux affrontements religieux, aux enjeux des ressources naturelles, principalement l’eau et le pétrole, au terrorisme et aux nombreux conflits qui montrent les limites de la politique internationale. C’est un précieux document, facile à consulter.
Il aide à bien situer géographiquement les conflits actuels, qu’il s’agisse de la Syrie, du Yémen, de l’Irak, de la Palestine, d’Israël et du Liban.
Il contribue également à mieux comprendre l’extrême complexité de la situation actuelle qui résulte d’un siècle de violences et qui a déjà fait des millions de réfugiés et de déplacés.

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques de ValenceRomansAgglo.

Atlas du Moyen-Orient : aux racines de la violence de Pierre Blanc - Autrement. Le Réserver ?

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Samuel Paty : L'école face au terrorisme Version imprimable

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Le 16 octobre 2020, Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine, était décapité pour avoir montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves.
Cet assassinat nous a tous bouleversé.
Tout a commencé par le mensonge d’une élève …
Je vous conseille vivement la série de podcast qui racontent l'engrenage insidieux qui s’est mis en place avant l’attentat.

Samuel Paty : L'école face au terrorisme sur France Inter. A écouter ici

- Bibliothécaire à la Médiathèque  Monnaie

Les 80 ans du Débarquement en Normandie Version imprimable

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Le 6 juin 1944, 156.000 soldats américains, britanniques, canadiens et français débarquent sur les plages de Normandie. Le « D-Day ». C’est la plus grande opération amphibie et aéroportée de l’histoire, qui a permis de libérer la France et l’Europe du Joug Nazie. Le 6 juin 2024 marque les 80 ans du Débarquement.



Toute une série de podcast sont proposés par Radio France.

Il y a 80 ans, le Débarquement à écouter ici

Enfin ! Le Débarquement ! ici

Le débarquement vu par les Allemands : "Gross" fissure dans le mur de l'Atlantique. ici

80 ans du Débarquement : la mémoire à l’épreuve du temps. Ici

Et bien évidemment je vous conseille vivement la nouvelle série de podacast du talentueux Philippe Collin : La Cavale du général Leclerc :
L'épopée d'un des plus grands chefs militaires de la France libre, le général Philippe Leclerc de Hauteclocque. A découvrir ici

Les femmes photographes. Version imprimable

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Souvent modèles mais rarement reconnues comme photographes, la plupart des femmes photographes ont rencontré des difficultés pour faire reconnaître leur travail.
Et pourtant les femmes s’emparent dès l’origine des appareils photo et contribuent largement à l’histoire de la photographie.
Elles sont portraitistes, photographes d’architecture, réalisent des reportages, travaillent pour la publicité. Elles documentent l’histoire.
Pour découvrir certaines de ces photographes nous vous proposons une sélection de documents à découvrir dans les Médiathèques ValenceRomansAgglo. Ici.

Radio France propose une série de Podcast les Femmes Photographes à découvrir ici.

Faire le deuil de soi de Nicolas Menet Version imprimable

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Lorsqu’il a compris à l’âge de 42 ans qu’il était atteint d’une tumeur au cerveau incurable, Nicolas Menet a bâti un « projet de fin de vie » pour donner du sens aux derniers mois qu’il lui restait à vivre. La mort étant absente de nos sociétés, il a dû tout apprendre sur elle en moins d’un an, comme une sorte de vieillissement accéléré. Il a constaté que de maîtriser ses derniers instants pour revoir par exemple les êtres chers ou de se réconcilier avec d’autres permet de mieux accepter l’imminence de la mort. C’est en quelque sorte une forme de réparation de soi. Cela peut permettre aussi de rédiger ses directives anticipées, de choisir sa fin et d’en parler avec sa famille et ses médecins.
Ce dialogue nécessaire apaise les choses « Faire le deuil de soi » est un processus douloureux mais c’est un chemin vers l’acceptation. Il faut renoncer au futur, à ses projets, et constater la dégradation de son corps et de ses facultés intellectuelles. Mais face à cette dégénérescence il a découvert une pulsion de vie incroyable qui lui a permis de mobiliser des ressources physiques et mentales inconnues jusqu’alors. Outre le récit de son expérience, dans cet ouvrage Nicolas Menet formule également des propositions concrètes issues de ses observations. Il développe son idée « du bien mourir ».
Il considère que le débat sur l’euthanasie est bien pauvre par rapport à l’importance du libre arbitre et de la conscience humaine. La loi aujourd’hui existe dans notre pays mais elle est mal connue, mal appliquée, mal présentée par des gens qui veulent semer le trouble sur cette question. Le vrai sujet pour lui c’est l’anticipation de notre mort et son acceptation dans la société. Un ouvrage courageux et utile paru un mois après son décès.

- bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir

Faire le deuil de soi de Nicolas Menet – Le Cherche Midi. Le Réserver ?

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Inconsolable d’Adèle Van Reeth Version imprimable

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L’auteure raconte avec simplicité la dernière année de l’existence de son père touché par une tumeur au cerveau. Elle sait qu’il n’y a pas d’espoir de guérison et son petit papa lui manque déjà, même encore vivant. Elle nous fait partager les étapes de son accompagnement et cette tristesse préparatoire. Son chagrin est proportionnel à son attachement, à sa mort, le sentiment de perte ne la quitte plus. Pourtant la mort de nos parents est dans l’ordre des choses, dit-on. Cela n'empêche pas d’éprouver le vide laissé par le défunt et d’être atteint d’un chagrin incommensurable.

Comment peut-on continuer à vivre sans celui qu'on a aimé ? Elle convoque dans ce récit d'autres inconsolés : Flaubert, Ionesco et d'autres écrivains ou philosophes, mais rien n'y fait. Elle se livre de manière très sincère et raconte également sa grossesse. Même si la naissance et la mort sont concomitantes, l’une ne guérit pas de l’autre.
A partir de son témoignage personnel, elle parvient à mettre des mots sur l’indicible et s’interroge sur la fin de la vie. Un ouvrage sensible sur le deuil qui a un caractère universel.

- bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir

Inconsolable d’Adèle Van Reeth - Gallimard. Le Réserver ?

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Heureusement, elle n’a pas souffert de Bruce Toussaint Version imprimable

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Sept ans après la disparition de son père victime d’un cancer et un peu plus d’un an après la mort brutale de sa mère, Bruce Toussaint éprouve le besoin d’écrire sur une histoire simple et universelle. Celle d’un homme âgé d’une quarantaine d’années qui redevient un enfant en faisant ses adieux à ses parents. Il a choisi d’écrire pour partager la douleur que nous sommes si nombreux à ressentir en silence. Il profite de sa notoriété pour essayer de faire évoluer les choses au niveau de la prise en charge de la fin de vie. Il milite également pour que la société reconnaisse que la mort de ses parents même si elle est dans l’ordre des choses peut entrainer des traumatismes profonds chez ceux qui restent.
J’ai ressenti beaucoup d’humanité et de bienveillance dans ce récit. C’est une très belle déclaration d’amour et un bel hommage rendu à son papa et à sa maman.

Je trouve que son témoignage complète celui d’Adèle Van Reeth dans son livre intitulé « Inconsolable ».

- bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir

Heureusement, elle n’a pas souffert de Bruce Toussaint - Stock. Le Réserver ?
Inconsolable d’Adèle Van Reetth. Le Réserver ?

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Femme, vie, liberté Version imprimable

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Zan, Zendegi, Azadi. Femme, vie, liberté, quels beaux mots.
Des mots scandés par des femmes, des hommes, des vieux, des jeunes, des voilées des non voilées …ces mots pour la liberté, pour la vie, pour la volonté des femmes de porter ou non le voile. Ces mots scandés en Iran et qui pourrait l’être aussi dans de nombreux pays.

Ces mots sont nés au lendemain de l’assassinat de Mahsa Amini le 16 septembre 2022 par la brigade des mœurs pour une mèche de cheveux qui dépasse de son voile.Ce voile est l’ADN, l’identité du régime des mollahs.En imposant ce voile, le régime impose la peur, la terreur, la soumission, l’oppression … Mais le meurtre de cette jeune fille a déclenché un mouvement de révolte inédit, c’est une révolte non plus politique ou économique, elle est sociétale. Et surtout c’est un mouvement déclenché par des femmes.
La répression est féroce, brutale… les gardiens de la révolution ne veulent pas abandonner le pouvoir.
Et pendant que l’ est saturée par tout et parfois n’importe quoi, le régime des mollahs a décidé de se venger sur des petites filles!
Que dire d’un régime, qui torture, tue ses enfants et va jusqu'à empoisonner des petites filles par des attaques chimiques dans les écoles ?...
Malheureusement, comme pour « Les Printemps arabes », « Le Hirak » en Algérie, la révolte iranienne va s’arrêter.
Mais ces mouvements sommeillent …

Une sélection de romans ici
Une sélection de films ici. Des doucuments que vous pouvez emprunter dans les Médiathèques ValenceRomansAgglo.

- bibliothécaire à la Médiathèque  Monnaie