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Ghost Culture alias James Greenwood sort son premier éponyme chez le label Phantasy. Malgré une formation de clarinétiste, l' est teinté d'une pop mélancolique associée à l'éléctro. Les deux éléments principaux de cette création : la voix vaporeuse de l'artiste ainsi que le synthétiseur Korg (son instrument fétiche). Il compose ses morceaux à la guitare sèche avant de rajouter rythmes et sons. Pour Eroll Alkan, fondateur du label Phantasy et co-producteur : “ce premier n'est que la partie émergée de l'iceberg. C'est quelqu'un qui n'a pas fini de nous surprendre”. Envoûtant et entraînant.

 - discothécaire à la médiathèque Simone de Beauvoir     

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