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L’auteure se plaît à donner un titre de fleur à chacun de ses romans. Ici c’est l’hôzuki, la physalis ou l’amour en cage et qui, en langage des fleurs, signifie aussi mensonge. L’auteure se plaît également à donner vie aux mêmes personnages rencontrés dans des romans précédents. Dans celui-ci, nous retrouvons Mitsuko Tsuji, la jolie jeune femme qui était entraîneuse dans un bar dans le   Azami . Si chaque vendredi soir, Mitsuko devient Azami dans un bar de 1ere classe, le reste de la semaine, elle est bouquiniste. Elle possède une boutique dans une petite rue de Nagoya. Elle est aussi et surtout la mère de Târo, un enfant métis et sourd-muet. Un jour, une femme entre avec sa fille, Haruko, dans la boutique. Elle est à la recherche de livres pour son mari, diplomate. Les 2 enfants, Târo et Haruko, font connaissance et deviennent rapidement amis. Les enfants se reverront sous la surveillance des 2 femmes. Mitsuko va devenir la confidente involontaire de cette femme qui a un lourd secret. Mitsuko, quant à elle, cache également un secret. Serait-il commun ? Aki Shimazaki a à cœur de parler du quotidien des gens, des liens qui les unissent, de la société et de ses contraintes. Ce court est une réussite et le découvre une fois encore un pan de la société japonaise.

- bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir participant au troc lecture. Organisé à la Médiathèque Simone de Beauvoir. Suggestion de lecture proposée au club des Irrésistibles du Réseau des Bilbiothèques Publiques de Montréal

Hozuki d'Aki Shimazaki - Actes Sud. Le Réserver ?*

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