L'abîme de l'oubli de Paco Roca
Mots-clés : bd
A travers le combat obstiné de Pepica Celda, qui veut récupérer les restes de son père. José Celda, agriculteur républicain fusillé en 1940 et enterré dans une fosse commune, comme des milliers d’autres victimes de la répression franquiste.
De Pepica Celda à Léoncio Badia, avec leurs forces et leurs blessures, c’est leurs histoires que nous racontent Paco Roca.
L’abîme de l’oubli pour faire vivre les souvenirs, ne pas oublier. Bouleversant.
Lila - Bibliothécaire à la Médiathèque Monnaie
L'abîme de l'oubli de Paco Roca - Delcourt. Le Réserver ?
D'autres conseils de lectures sur notre portail
312 notes :
- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

- Anonyme :

Les personnes qui aiment cet article aiment aussi :
L'autre fille d'Annie Ernaux
Je n’ai pas peur
Fier d’être Français de Max Gallo
L. de Raphaële Lannadère
A fake story de Jean-Denis Pendanx & Laurent Galandon
L’aiguille dans la botte de foin d' Ernesto Mallo
| Imprimer | Commenter | Articlé publié par Médiathèque Monnaie le 11 Mars 25 |





