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871 pages très denses, aux caractères trop petits pour être lus confortablement. Oubliez l’avion et le train, ça bouge trop. Ne pensez pas non plus à la plage, trop de soleil. J’ai tout essayé pendant de longs mois afin de venir à bout de cette saga qui était pourtant captivante au départ. Ceci est donc une chronique de lecture inachevée ou abandonnée. Pourtant, j’ai beaucoup aimé le regard porté sur l’Inde des années 80. On se croirait dans les rues de Bombay ; du moins, cela ressemble à l’image qu’on peut s’en faire, même sans jamais y avoir mis les pieds, ni par avion, ni par train. L’Inde peinte par Gregory David Roberts est très humaine. L’auteur excelle dans les descriptions. On voit les sourires. L’adaptation cinématographique bénéficiera d’un excellent canevas.
Mais à la longue, ça m’est apparu trop : trop lent et répétitif. Et un peu narcissique. Ce est inspiré de la vie de l’auteur, bagnard évadé des prisons australiennes. On me l’avait chaudement recommandé, il a été traduit en 31 langues. Il doit donc y avoir plein de gens qui l’ont apprécié et je peux le comprendre, mais moi, j’ai des réserves. Je me suis libéré à la page 470.


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Une suggestion de lecture proposée par un lecteur de Montréal membre du club des Irresistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques de Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.


11 notes :

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