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Rose, jeune botaniste franco-japonaise, se rend à Kyoto pour recueillir l’héritage de son père, Haru, qu’elle n’a jamais connu. Maud, sa mère, est décédée lorsque Rose était jeune ; elle a été élevée par Paule, sa grand-mère. Rose n’est pas ravie de ce voyage. Muriel Barbery, par la description de l’état d’âme de Rose et sa mauvaise volonté à découvrir la vie de son père récemment disparu, m’a rendu le personnage de Rose pénible ; Kanto, le chauffeur, est lui très patient ; la gouvernante, Sayoko, est bien délicate et diplomate avec Rose, la fille de son patron qu’elle vient de perdre et que dire de Paul, le secrétaire d’Haru, Belge installé au Japon depuis longtemps. Rose est réticente face à la découverte des racines paternelles, mais peu à peu, la visite des nombreux temples de Kyoto, ornés de tous ces beaux végétaux, elle, Rose, la botaniste, va se laisser envelopper par les us et coutumes de la société nippone. Ce à l’atmosphère douce-amère au comportement de Rose m’a donné envie de la laisser dans son déni de connaître son père et son histoire. Mais l’atmosphère du livre, avec tous ses personnages si patients envers Rose, m’a permis de faire un beau voyage au pays du Soleil levant.

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques de ValenceRomansAgglo.

Une rose seule de Muriel Barbery  - Actes Sud (2020). Le Réserver ?

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