Mots-clés :

Au début du siècle, une petite pension sur la Côte d'Azur, ou plutôt sur la Riviera, comme on disait alors. Grand émoi chez les clients de l'établissement : la femme d'un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu'une vieille dame anglaise sèche et distinguée. C'est elle qui, au cours d'une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle.

d’un autre âge mais l'évocation d'une passion foudroyante est décrite avec profondeur et sensualité. Cela donne un récit d'un étonnant modernisme et d'une vigueur peu commune.


- Bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir

Références
:
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme de Stefan Zweig  - Ed. LGF
Vous trouverez ce  dans les Médiathèques du Pays de Romans à la cote R ZWE

14 notes :

  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  
  • Anonyme :  

Articles portant sur des thèmes similaires :

Les personnes qui aiment cet article aiment aussi :

Partagez ce billet !