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Masao a été gardien du phare d’Ogijima, puis a travaillé pour débarrasser des déchets de l’île de Teshima. Maintenant il travaille comme ouvrier rectifieur dans une usine sur l’île de Naoshima. Sa vie s’écoule tranquillement avec ses souvenirs et quelques livres de poésie qu’il relit. Un jour, sa fille Harumi l’attend à la sortie de son travail. Ils ne se sont pas revus depuis quatorze années. Elle est devenue architecte et elle supervise la construction d’un musée pour une œuvre unique d’une artiste, Rei Naito. Le musée existe vraiment, ainsi que l’œuvre de cette dernière. La lecture de ce de 203 pages a été une promenade paisible avec Masao et sa fille Hamuri. L’auteur nous décrit ce père et sa fille qui ont en essayant de faire avec les circonstances de la vie et surtout sans rancœur. J’en ai tiré un bel exemple de résilience. « On dit qu’il y a trois sortes de phares. Les paradis sont érigés à terre. Les enfers le sont en pleine mer et le plus souvent c’est là qu’un gardien doit commencer par faire ses preuves et pour ceux du genre d’Ogijima, situés sur une île, on parle de purgatoires. »

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques de ValenceRomansAgglo.

La Barque de Masao
de Antoine Choplin - Buchet-Chastel. Le Réserver ?

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