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Les illusions n’aboutissent-elles pas souvent à des désillusions ?

J’ai découvert Jonathan Dee avec « Les privilèges » un que j’avais beaucoup apprécié.
Voilà donc son deuxième , et je l’ai trouvé long, parfois ennuyeux mais et c’est là toute la force du talent de Jonathan Dee, je n’ai pas pu m’arrêter de le lire avant de l’avoir terminé. C’est tellement bien écrit. L’histoire en deux mots : Molly une jeune et belle fille fascinante se réfugie à Berkeley où elle rencontre John, un jeune étudiant d’art qui tombe amoureux d’elle. Un jour Molly disparaît. Dix ans plus tard, Molly, John et Mal Osbourne vont se croiser… A travers ces trois héros, l’auteur nous plonge dans l’Amérique des années 1980-1990. Il dresse un portrait critique de la société Américaine, de la consommation, du monde de la pub : fabrique des illusions. Pour terminer, j’ai finalement adoré ce livre, c’est un grand sur une époque qui se berçait d’illusions.

[ajouter] - bibliothécaire à la Médiathèque de la Monnaie

La fabrique des illusions de Jonathan Dee - Plon. Le réserver ?


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