La fuite de Paul Bernard Moracchini
Mots-clés : rentrée littéraire
Prisonnier d’une société qu’il méprise, un homme dont on ne connaîtra jamais le nom, décide de tout quitter et de se retirer loin des hommes et de la civilisation. Il s’installe dans une vieille bergerie où il va vivre de chasse, de cueillette avec pour seule compagnie un chien qu’il a trouvé, Leone. Peu à peu, le narrateur va se détacher de toute notion de réalité ; La folie le gagne peu à peu.
Le style est très beau, concis et précis, un style qui n’est pas sans rappeler celui de Marie-Hélène Lafon quand elle parle de son Cantal natal. L’histoire, quant à elle, est étrange, très étrange.
Nathalie - Bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir
La fuite de Paul Bernard Moracchini - Buchet Chastel. Le Réserver ?
D'autres conseils de lectures sur notre portail
19 notes :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
Articles portant sur des thèmes similaires :
Les personnes qui aiment cet article aiment aussi :
Les fantômes du vieux pays de Nathan Hill
Underground railroad de Colson Whitehead
Cet homme-là d' Eve de Castro
Utopies en ruine de La Vie d’artiste
H2G2 Le guide du voyageur galactique de Douglas Adams
Parce que je déteste la Corée de Chang Kang-myoung
Imprimer | Commenter | Articlé publié par Médiathèque Monnaie le 21 Sep. 17 |