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Ces six nouvelles composent cet ouvrage publié en 1903 et sont complétées par une postface de 27 pages rédigée par Cécile Roudeau professeure de littérature américaine et spécialiste des écrivaines du XIXe de la Nouvelle-Angleterre. À l’origine, elles ont été publiées individuellement dans le Harper’s Bazaar. Les six nouvelles portent les noms des arbres qu’on trouve dans ce coin des États-Unis : l’orme, le bouleau blanc, le grand pin, le sapin baumier, le peuplier d’Italie, le pommier. Chaque nouvelle raconte une histoire dans laquelle les personnages et les arbres sont au même niveau dans la narration. Ce livre m’a semblé être un conte philosophique et j’avoue que la postface m’a aidée à me mettre dans le contexte de l’époque et à éclaircir certains points. La vue d’un arbre m’apaise. Eh bien là, l’arbre était dans le décor de ma lecture. Je me suis laissée emporter par une douceur sylvestre et je ne peux que vous recommander cette promenade littéraire.

ggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques de ValenceRomansAgglo.

Six arbres de Mary Eleanor Wilkins Freeman - Finitude. Le Réserver ?

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