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Un sujet cher à l’auteur : la maladie mentale. Un long qui pourrait être noir s’il n’y avait, comme dans ses autres écrits, cette dimension ludique qui change tout et qui, à mon avis, est remarquable. Dans ce , l’auteur joue avec des personnages empruntés de d’autres grandes oeuvres, en particulier du de Joseph Conrad, Heart of Darkness, mais aussi, par exemple, des Hauts de Hurlevent, de Beowulf et Peter Rabbit de Beatrix Potter. Il nous convie ainsi à un jeu imaginaire qui permet d’apprivoiser une réalité difficile. « We dance our lives to the piper’s tune » écrit-il. Ou encore : « Life and love are twin ephemera but words can tell of them forever. »
Dans le décor, une épidémie imaginaire, dans une société qui a ses dépravés et ses poètes, qui ne sont pas toujours là où l’on pense, et s’y pose la question du bien et du mal : « Où s’en va l’humanité ? », mais qui se conclut sur une note d’espoir. Le tunnel de l’obscur peut être franchi vers la lumière grâce à des « sustaining fictions, uplifting fictions. »
Sans doute un bel hommage à la lecture de la part de ce grand romancier qui a beaucoup lu.

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.

Le chasseur de tête
de Timothy Findley - Gallimard. Le Réserver ?*

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