Pages intérieures de Jacky Beneteaud & Stéphane Courv & Stéphane Courvoisier
Mots-clés : bd alternative
Une femme. Un homme. Une bibliothèque. Un livre... Une rencontre étonnante. Une histoire pleine de mystère et d'amour.
Une bd a la fois poétique et fantastique. On est dans un futur non défini. Cette rencontre entre deux êtres, l'un qui lit, l'autre qui écrit semble au premier abord un peu "froide", mystérieuse. Et puis finalement j'ai été intriguée, captivée par cette histoire tout en poésie, fantasme, un soupçon de fantastique... Impossible de reposer le livre avant de l'avoir fini. Pas de dialogue mais juste une narration simple et prenante. Ce minimalisme, cet environnement dépouillé donne de la force au récit. Si vous aimez les "atmosphères" vous allez aimer cette bd. A vous de découvrir cette bd étonnante.
Maryjo - Médiathèque Simone de Beauvoir
Pages intérieures - Jacky Beneteaud & Stéphane Courvoisier - Ed de l'An 2.
Le Réserver ?
Maryjo - Médiathèque Simone de Beauvoir
Pages intérieures - Jacky Beneteaud & Stéphane Courvoisier - Ed de l'An 2.
Le Réserver ?

482 notes :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
- Anonyme :
Articles portant sur des thèmes similaires :
Les personnes qui aiment cet article aiment aussi :
Toi de Zoran Drvenkar
Emily de Stewart O’Nan
Les Cigales en héritage de Martine Pilate
Nécrologie de Paul Cleave
Le sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari
Hantise de Michelle Jaffe
Imprimer | Commenter | Articlé publié par Médiathèque Monnaie le 02 Avr. 13 |