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 Bobin nous offre quinze récits lumineux, même s’il nous parle beaucoup de la mort. Son regard de poète transfigure notre quotidien.
Il est amoureux de la nature, de la vie et des êtres. On retrouve, dans ce volume, une longue lettre écrite à la main à sa bien-aimée « la plus que vive » ; on constate qu’elle l’habite au fil des jours. Malgré cette douloureuse absence, Christian Bobin a la touche pour nous inviter à célébrer la VIE. Bobin nous apprend que le silence des morts est le même que celui des fleurs.
Ce très beau livre est lumineux. Bonne lecture !

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Une suggestion de lecture proposée par un lecteur de Montréal membre du club des Irresistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques de Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.

 

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