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 Un laborieux, tout à fait différent des précédents. L’auteur imagine une histoire à deux intrigues : un assassinat en 2008 et un Chinois envoyé de force aux États-Unis en 1863.
L’Express traduit tout à fait ma pensée. « On avait quitté Mankell tutoyant les sommets avec L’Homme inquiet (2009), dernière aventure de Kurt Wallander et assurément un grand . Le voilà redescendu sur terre, et presque plus bas avec Le Chinois qui joue le fourre-tout dramatique et temporel. D’abord l’assassinat, en 2008 et la même nuit, des habitants d’un petit village suédois ; ensuite un bond dans le temps, 1863, et l’histoire d’un Chinois, San, embarqué de force pour les États-Unis ; enfin, comme on pouvait s’y attendre, la réunion des deux intrigues comme un battement d’ailes provoquant un carnage scandinave. Mais cet éclatement du récit, trop laborieux, ne fonctionne pas. Mankell est bon lorsqu’il colle à la semelle de ses personnages. Dès qu’il prend le large, ça part en vrille. »
500 pages, c’est long, très long. Vaut mieux lire ses anciens titres.


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Une suggestion de lecture proposée par un lecteur de Montréal membre du club des Irresistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques de Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.

 

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