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Assia Djebar est décédée en février 2015. Écrivaine, historienne, professeure au Maghreb, en France et aux États-Unis, elle fut la première maghrébine à être élue à l’Académie française. Elle a même reçu un doctorat honoris causa de l’Université Concordia à Montréal. Ce livre est son dernier ouvrage. Il raconte la vie d’une jeune Algérienne dont le père est instituteur et qui souhaite que sa fille poursuive des études universitaires. Cette jeune fille, qui fréquente un lycée où étudient des Algériennes musulmanes et des Françaises laïques, est partagée entre les interdits (de montrer ses jambes, de marcher sur la rue avec un jeune homme, de se dévoiler) et le désir d’une liberté qui est accessible aux « autres ». Présenté comme un , ce livre est en partie autobiographique. On dirait aussi une sorte de testament de fin de vie, dans lequel l’écrivaine se reproche d’avoir passé sous silence l’essentiel de son expérience déchirée entre deux cultures.

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.

Nulle part dans la maison de mon père d'Assia Djebar - Fayard. Le Réserver ?

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