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En Afghanistan, une femme veille son mari plongé dans le coma. Elle profite de son silence involontaire pour raconter ses souffrances,ses humiliations, ses attentes lors de son mariage. Raconter comment elle s'est accommodée des désirs de son mari, de sa belle-famille mais aussi de la belle relation qu'elle avait noué
avec son beau-père.
Syngué Sabou veut dire pierre de patience, c'est une pierre à qui on peut tout dire, à qui on peut dévider son chapelet de malheurs. Vous aurez donc compris que le mari dans le coma sert...je ne vais pas vous écrire la fin.

Prix Goncourt 2008. Beaucoup de monde s'est extasié sur ce . Un homme qui décrit les souffrances d'une femme afghane, musulmane en temps de guerre, dans un pays occupé par les talibans Ça en impose!
Ecrit dans un français châtié, une écriture très soignée, à se demander si il n'avait pas un dictionnaire des synonymes sous le coude pour écrire de très belle phrases. D'accord, le Goncourt récompense aussi la langue française ....

Je n'ai pas aimé ce livre. A aucun moment je n'ai été touchée, concerné par l'histoire, les souffrances de cette femme.
A lire plutôt "Les hirondelles de Kaboul" de yasmina Khaddra, "Confidences à Allah" de Saphia Azzedine, "La muette" de Djavann Chahdortt. Et le magnifique "Mille soleils splendides" de Khaled Hossein, lui il était hors concours, car écrivain non francophone.



Références :
Syngué Sabou de Atiq Rahimi - P.O.L
Vous trouverez ce dans les Médiathèques du Pays de Romans à la cote R RAH

15 notes :

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