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Coïncidence : je viens de lire l’un à la suite de l’autre des romans dont le titre comporte le mot « femme » : Une femme aimée de Makine et La Femme de nos vies de Didier van Cauwelaert… Et quelles femmes toutes les deux ! J’ai aimé le de Makine qui entremêle de manière ingénieuse deux époques : la Russie de XVIIIe siècle et la Russie moderne, communiste et post-communiste. Le cinéaste Oleg Erdmann, d’origine russo-allemande comme l’impératrice Catherine la Grande, connaît par coeur la biographie de cette princesse allemande qui a influencé pour toujours le destin de sa famille. Il désire savoir qui elle était vraiment et est déterminé à défendre son image. Est-ce que la tsarine, qui est présentée par l’histoire comme une nymphomane, une femme qui a dépassé les limites en matière de pouvoir, de passion et de plaisirs charnels, a-t-elle été jamais aimée par un homme ?

Une suggestion de lecture proposée par un  de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.

Une femme aimée d'Andreï Makine - Seuil. Le Réserver ?

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