Clandestino, un reportage d'Hubert Paris, envoyé spécial d'Aurel
Mots-clés : bd_alternative, clandestins
Esclavage moderne.
Basée sur des faits réels, cette BD raconte l'histoire de milliers de clandestins d'Afrique du Nord, embauchés à des tarifs dérisoires pour travailler dans les serres espagnoles afin que nous, consommateurs européens, puissions avoir des tomates ou des fraises toute l'année.
Ce récit parle de l'exploitation de la misère humaine dans une Europe qui traque et rejette les clandestins mais accepte sans sourciller d'embaucher des sans-papiers, de les utiliser sans qu'ils puissent rien dire, la plupart s'estimant chanceux de pouvoir travailler.
Du jeune ingénieur hitiste au berger analphabète, tous tentent une traversée souvent mortelle pour qu'on ait dans nos assiettes d'Européens gâtés des fruits et légumes hors saison.
En plus, se développe une économie parallèle où l'esclave sexuel est florissant. Mais qui se préoccupe de ces gens, laissés pour compte, une main-d'oeuvre qu'on utilise puis qu'on jette sans états d'âme.
Karl Marx l'a dit, "le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par homme, le communisme c'est le contraire..." et l'esclavage ?
Maryjo - bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir
Lire aussi la critique de Giuliai ci
Clandestino d'Hubert Paris - Glénat. Le Réserver ?
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Clandestino, un reportage d'Hubert Paris, envoyé spécial d'Aurel - Glénat
Basée sur des faits réels, cette BD raconte l'histoire de milliers de clandestins d'Afrique du Nord, embauchés à des tarifs dérisoires pour travailler dans les serres espagnoles afin que nous, consommateurs européens, puissions avoir des tomates ou des fraises toute l'année.
Ce récit parle de l'exploitation de la misère humaine dans une Europe qui traque et rejette les clandestins mais accepte sans sourciller d'embaucher des sans-papiers, de les utiliser sans qu'ils puissent rien dire, la plupart s'estimant chanceux de pouvoir travailler.
Du jeune ingénieur hitiste au berger analphabète, tous tentent une traversée souvent mortelle pour qu'on ait dans nos assiettes d'Européens gâtés des fruits et légumes hors saison.
En plus, se développe une économie parallèle où l'esclave sexuel est florissant. Mais qui se préoccupe de ces gens, laissés pour compte, une main-d'oeuvre qu'on utilise puis qu'on jette sans états d'âme.
Karl Marx l'a dit, "le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par homme, le communisme c'est le contraire..." et l'esclavage ?
Maryjo - bibliothécaire à la Médiathèque Simone de Beauvoir
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Imprimer | Commenter | Articlé publié par Médiathèque Monnaie le 28 Avr. 15 |